Brest Surf Film Festival Amazigh

Amazigh

Version originale sous-titrée en français

Synopsis :

Les Berbères se nomment Imazighen, pluriel d’Amazigh qui signifie Homme libre dans leur langue, le tamazight. La réalisatrice turque Serra Soyupak, diplômée à l’University of Arts de Londres, fascinée par les entrelacements entre la tradition et l’héritage, par le sport, la mode et la culture, construit un récit original en dessinant le portrait d’une jeune femme Amazigh en quête d’émancipation et de liberté, déterminée à briser les attentes de la société et à embrasser sa passion pour le surf. Du désert à l’Océan. Un film court multi-primé.

The film follows an inspiring Amazigh woman who is determined to break societal expectations and embrace her passion for surfing. Narrated in her native language, Tamazight, the film takes viewers on a personal journey as she tells her story in various locations. This journey captures the intersection of culture, traditions, and individuality and shows the empowering transformation of a young woman who breaks free and explores surfing.

Surfeuse
Maryam El Gardoum, quintuple championne de surf du Maroc

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Brest Surf Film Festival Orion

Orion

Version originale sous-titrée en françaiss

Synopsis :

Véritable homme des glaces, Orion est l’un des seuls surfeurs montréalais à oser se mesurer aux eaux tourmentées du fleuve Saint-Laurent. Portrait d’un surfeur de rivière qui dépasse allégrement les frontières du froid de l’hiver canadien. Inouï.

Orion is a unique lyrical journey about a river surfer who dares to go beyond the boundaries of cold and winter in order to brave the eternal waves of Habitat 67. A true iceman, Orion is one of the only Montreal surfers who dares to measure himselves against the icy waters of the St. Lawrence River.

Surfeur
Orion

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Brest Surf Film Festival Creatures Of Habit

Creatures of Habit

Version originale sous-titrée en françaiss

Synopsis :

Réalisé par Nate Laverty, Creatures of Habit a été récompensé au London Surf Film Festival et au Florida Film Festival, et comme on les comprend… Une qualité d’image et de son exceptionnelle. Un voyage sonore et visuel d’une indicible beauté, une nature sublimée, un film qui procure une incroyable énergie venue des profondeurs, qui donne le sourire et juste l’envie de partager ces moments inlassablement.

“Routine is necessary for efficiency: Breaking routine is necessary for adaptation.”

Directed by Nate Laverty, Creatures of Habit is a film that explores the boundaries and embraces the uncertainty in surfing unpredictable and challenging locations. Shot in Canada and Iceland, the aim is to leave behind the comforts and certainties learned over time and embrace the cold and discomfort.

Surfeurs
Pete Devries, Reed Platenius, Cam Richards, Mathea Olin, Sanoa Olin, Andrew Jacobson, Ryan Huckabee and Dimitri Polous

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Brest Surf Film festival The Big Sea

The Big Sea

Version originale sous-titrée en français

Synopsis :

Le surf fait des ravages. Cette industrie mondiale n’a jamais été aussi populaire. Le surf s’est fait le champion des questions environnementales. Pourtant, le prix de la vague parfaite est plus élevé que vous ne le pensez.
La majorité des combinaisons de plongée commercialisées aujourd’hui sont fabriquées en néoprène, nom commercial du caoutchouc chloroprène. Ce matériau synthétique est issu d’un processus chimique cancérigène si toxique que le gouvernement californien exige que les combinaisons portent des avertissements sanitaires. Il n’existe qu’une seule usine de chloroprène aux États-Unis. S’élevant sur le site d’une ancienne plantation d’esclaves dans la Cancer Alley, l’usine chimique jette une ombre mortelle sur la communauté qui se bat pour le droit de respirer de l’air pur.

Alors que le néoprène est utilisé dans les industries de loisirs, de l’automobile et du bâtiment, c’est l’image du surf qui est convoquée pour nettoyer et verdir ce composé chimique. Sous la pression de justifier ses revendications « durables » et « éthiques », l’industrie du surf va-t-elle réagir ? Le surf réussira-t-il à provoquer le changement nécessaire vers des alternatives naturelles facilement disponibles et à endiguer cette marée toxique ?

Réalisé par Lewis Arnold et Chris Nelson, le documentaire indépendant The Big Sea est le film de l’année, voire de la décennie, à n’en pas douter.

“One of the most important outdoor films of all times.” Keme Nzerem, journalist, C4 news, founder OUTO
« The film that changed an industry. » Ian Stewart, CMO Xcel Wetsuits
“So powerful. So well told. So poetic. The engine-message-activism that drives the film is so important, but it’s also very beautiful, with stellar, arresting cinematography.” Jamie Brisick, Award-winning filmmaker

The price of the perfect wave is greater than you think. From filmmakers Lewis Arnold and Chris Nelson, The Big Sea is an independent documentary exposing surfing’s hidden links to Cancer Alley and the devastating impact of the wetsuit world’s toxic addition to Neoprene.
The majority of wetsuits on the market today are made of Neoprene – the commercial name for Chloroprene rubber. This synthetic material is born out of a carcinogenic chemical process so toxic that the California government requires them to carry health warnings.
There is just one chloroprene plant in the USA. Rising from the site of a former slave plantation in Cancer Alley, the chemical factory casts a deadly shadow over the community fighting for the right to breath clean air, fighting environmental racism.
While Neoprene is used across leisure, automotive and building industries, it is surfing’s image that is used to clean up and green up this dirty chemical compound. Confronted by its complicity as the poster-child for Neoprene and under pressure to substantiate “sustainable” and “ethical” claims, will the surf industry clean up its act? Will surfing lead the change to natural alternatives that are readily available and use its position to stem this toxic tide?

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