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Session
2 - 21H
The Big Sea
Version originale sous-titrée en français
Synopsis :
Le surf fait des ravages. Cette industrie mondiale n’a jamais été aussi populaire. Le surf s’est fait le champion des questions environnementales. Pourtant, le prix de la vague parfaite est plus élevé que vous ne le pensez.
La majorité des combinaisons de plongée commercialisées aujourd’hui sont fabriquées en néoprène, nom commercial du caoutchouc chloroprène. Ce matériau synthétique est issu d’un processus chimique cancérigène si toxique que le gouvernement californien exige que les combinaisons portent des avertissements sanitaires. Il n’existe qu’une seule usine de chloroprène aux États-Unis. S’élevant sur le site d’une ancienne plantation d’esclaves dans la Cancer Alley, l’usine chimique jette une ombre mortelle sur la communauté qui se bat pour le droit de respirer de l’air pur.
Alors que le néoprène est utilisé dans les industries de loisirs, de l’automobile et du bâtiment, c’est l’image du surf qui est convoquée pour nettoyer et verdir ce composé chimique. Sous la pression de justifier ses revendications « durables » et « éthiques », l’industrie du surf va-t-elle réagir ? Le surf réussira-t-il à provoquer le changement nécessaire vers des alternatives naturelles facilement disponibles et à endiguer cette marée toxique ?
Réalisé par Lewis Arnold et Chris Nelson, le documentaire indépendant The Big Sea est le film de l’année, voire de la décennie, à n’en pas douter.
“One of the most important outdoor films of all times.” Keme Nzerem, journalist, C4 news, founder OUTO
« The film that changed an industry. » Ian Stewart, CMO Xcel Wetsuits
“So powerful. So well told. So poetic. The engine-message-activism that drives the film is so important, but it’s also very beautiful, with stellar, arresting cinematography.” Jamie Brisick, Award-winning filmmaker
The price of the perfect wave is greater than you think. From filmmakers Lewis Arnold and Chris Nelson, The Big Sea is an independent documentary exposing surfing’s hidden links to Cancer Alley and the devastating impact of the wetsuit world’s toxic addition to Neoprene.
The majority of wetsuits on the market today are made of Neoprene – the commercial name for Chloroprene rubber. This synthetic material is born out of a carcinogenic chemical process so toxic that the California government requires them to carry health warnings.
There is just one chloroprene plant in the USA. Rising from the site of a former slave plantation in Cancer Alley, the chemical factory casts a deadly shadow over the community fighting for the right to breath clean air, fighting environmental racism.
While Neoprene is used across leisure, automotive and building industries, it is surfing’s image that is used to clean up and green up this dirty chemical compound. Confronted by its complicity as the poster-child for Neoprene and under pressure to substantiate “sustainable” and “ethical” claims, will the surf industry clean up its act? Will surfing lead the change to natural alternatives that are readily available and use its position to stem this toxic tide?